mardi 7 octobre 2014

Les murs « rose »



Comme je vous le disais précédemment, l’avantage du couple est d’être deux : on peut se partager les tâches. Par exemple, si l’on visite (pour la nième fois) Reus, l’une fait les vitrines, et cherche de nouveaux sacs à main. L’autre (qui mémorise le trajet à parcourir à l’envers pour retrouver le véhicule garé, il ne sait plus où) marche tête en l’air, observant l’architecture, à la recherche de signes tangibles d’Art Nouveau. Ici, on dit : modernismo.

Le plus simple est  de se rendre directement au centre- ville, repère : l’incontournable Casa Navas











Je vous en ai montré dix fois les merveilles, une fois de plus, c’est fermé. Par contre, le magasin du bas est ouvert : on peut entrer (il y a peu de clients depuis qu’on ne vend plus de tissu), saluer le vendeur (il s’ennuie manifestement), visiter le central téléphonique d’origine. Les disjoncteurs coupés depuis longtemps, mais toujours là. De temps en temps, on tombe sur un vitrail : des roses !























Dehors, toujours cette déco foisonnante. Au Palais Bofarull, deux cariatides : ce sont des hommes élégants, moustaches 1925. A l’intérieur, ce superbe éphèbe, une escultura de Miguel Jassans.
























A deux, on visite mieux

aucun sac ne nous a échappé


aucune rose non plus !